(m) une famille heureuse est celle qui s'enttend à merveille et qui chasse le mal ensemble.
« Billie Hayden Rosenbach »
If i'm going to be a superhero someday - I will be WonderWoman
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Sujet: (m) une famille heureuse est celle qui s'enttend à merveille et qui chasse le mal ensemble. Mar 11 Juin - 14:35
Carter Neil Rosenbach
Une famille nombreuse comporte ses hauts et ses bas. Certains s'aiment à la folie tant dit que d'autres veulent se tuer. Carter et Billie n'avaient pas compris à quel point, jusqu'au jour où dans la mort d'un être cher, ils ont décidé de s'allier à jamais.
Protecteur
Rancunier
Futé
Réservé
Charmeur
Direct
Mon coeur venait de s'arrêter net. Je croyais vraiment que je venais de faire une crise cardiaque. J'avais mon frère au téléphone et je retenais mes larmes qui, peu de minute après ce coup de téléphones, allaient coulées à flot sur mes petites joues d'enfant. ❝ Bill' ?! ❞ La voix de mon frère tremblait tellement en attendant ma réponse que moi-même j'ai hésité à répondre à mon ainé. Je lui ai répondu d'une voix toute aussi tremblante et faible que lui. ❝ Oui, c'est moi ? ❞ Il reprenait son souffle après chaque parole. Il cherchait comment m'annoncer une chose terrible et c'était lui qui devait le faire. Mes parents étaient avec Clay et attendait le diagnostique des médecins. ❝ C'est Clay...Billie, Clay est à l'hôpital...il faut que tu viennes toutes suites ! Il va surement mourir ce soir. Vient me rejoindre j'ai besoin de toi... On... a besoin de toi. ❞ Vous voyez cet instant ? C'est à ce même moment que mon coeur à chavirer. ❝ Bill, t'es là ?! ❞ J'ai échappé mon portable par terre. Ça faisait quelques jours que moi et Charles, nous nous parlions plus. J'allais pas très bien déjà d'avance et en un coup de téléphone, ma vie n'allait plus jamais être la même. J'étais en pyjama dans ma chambre en train d'écrire à quel point Charles était un idiot. Je n'ai même pas pris le temps de me rhabiller et j'ai descendu les escaliers à une vitesse folle. Il neigeait dehors et il faisait très froid, cependant j'ai quand même couru à travers les flocons jusqu'à l'hôpital qui était pourtant à deux kilomètres d'où j'étais. Je n'avais pas de bottes, ni de manteau. En fait, j'aurais pu me tuer ce soir-là, mais à vrai dire ça m'était bien égal. Tout ce qui comptait c'était d'aller voir Clay coute que coute. ❝ Les heures de visite sont terminées, mademoiselle. ❞ dit la vielle à qui j'avais demandé où était mon frère. Elle n'avait même pas regardé sur son ordinateur pour regarder si le patient avait le droit ou non à de la visite. J'ai pensé prendre mon portable, mais je l'avais laissé par terre dans ma chambre. C'est à ce moment-là que mon corps me lâcha et que je me suis écroulée sur le plancher. Mes larmes s'étaient remises à couler. La vielle dame ne cherchait même pas à m'aider. Elle se fichait pas mal de mon état d'esprit d'ailleurs. Quand une voix familière fit son apparition proche de moi. Je me suis relevé la tête. ❝ Carter ! ❞ Il m'aida à me relever avec le peu de force qui lui restait. Il me prit dans ses bras et se mit à pleurer à son tour. Je n'avais jamais vu mon frère de dix-huit ans pleurer au par avant. Il avait toujours été le plus fort, le plus réservé, mais ce soir-là un poignard avait percé son coeur, comme le mien et sa vie aussi allait être chamboulé. J'ai repris tranquillement mes esprits. ❝ Qu'est ce qui s'est passé au juste ? ❞ dis-je en regardant mon frère, toujours les yeux pleins d'eau. ❝ Il a eu une crise cardiaque, il est sur un respirateur artificiel. Les docteurs ont dit qu'on avait le choix, en le débrancher ou non. Maman et papa se disputent pour savoir s'ils vont le laisser comme ça ou non. Maman veut le garder comme ça et papa veut qu'on le débranche. ❞ Il se recula et m'observa un instant. ❝ Qu'est ce qui s'est passé soeurette pourquoi t'es à moitié nu ? ❞ Il me jeta un regard un peu fâché de frère protecteur quelques secondes, avant de fermer la discussion et de me couvrir de son manteau. ❝ Pour aujourd'hui, je laisse passer. Allons voir Clay. ❞ C'est à ce moment-là, dans la chambre d'hôpital de mon frère Clay qui, quelques heures plus tard, allait être débrancher que je me suis rapprochée de mon frère plus que jamais. Oui, nous n'étions plus jamais les mêmes, mais le bon dieu nous à souder pour mieux affronter les difficultés de la vie. Vivant maintenant sous le même toit de nouveau, nous ne pourrions pour rien au monde nous séparer de nouveau.
(m) une famille heureuse est celle qui s'enttend à merveille et qui chasse le mal ensemble.
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Mon coeur venait de s'arrêter net. Je croyais vraiment que je venais de faire une crise cardiaque. J'avais mon frère au téléphone et je retenais mes larmes qui, peu de minute après ce coup de téléphones, allaient coulées à flot sur mes petites joues d'enfant. ❝ Bill' ?! ❞ La voix de mon frère tremblait tellement en attendant ma réponse que moi-même j'ai hésité à répondre à mon ainé. Je lui ai répondu d'une voix toute aussi tremblante et faible que lui. ❝ Oui, c'est moi ? ❞ Il reprenait son souffle après chaque parole. Il cherchait comment m'annoncer une chose terrible et c'était lui qui devait le faire. Mes parents étaient avec Clay et attendait le diagnostique des médecins. ❝ C'est Clay...Billie, Clay est à l'hôpital...il faut que tu viennes toutes suites ! Il va surement mourir ce soir. Vient me rejoindre j'ai besoin de toi... On... a besoin de toi. ❞ Vous voyez cet instant ? C'est à ce même moment que mon coeur à chavirer. ❝ Bill, t'es là ?! ❞ J'ai échappé mon portable par terre. Ça faisait quelques jours que moi et Charles, nous nous parlions plus. J'allais pas très bien déjà d'avance et en un coup de téléphone, ma vie n'allait plus jamais être la même. J'étais en pyjama dans ma chambre en train d'écrire à quel point Charles était un idiot. Je n'ai même pas pris le temps de me rhabiller et j'ai descendu les escaliers à une vitesse folle. Il neigeait dehors et il faisait très froid, cependant j'ai quand même couru à travers les flocons jusqu'à l'hôpital qui était pourtant à deux kilomètres d'où j'étais. Je n'avais pas de bottes, ni de manteau. En fait, j'aurais pu me tuer ce soir-là, mais à vrai dire ça m'était bien égal. Tout ce qui comptait c'était d'aller voir Clay coute que coute. ❝ Les heures de visite sont terminées, mademoiselle. ❞ dit la vielle à qui j'avais demandé où était mon frère. Elle n'avait même pas regardé sur son ordinateur pour regarder si le patient avait le droit ou non à de la visite. J'ai pensé prendre mon portable, mais je l'avais laissé par terre dans ma chambre. C'est à ce moment-là que mon corps me lâcha et que je me suis écroulée sur le plancher. Mes larmes s'étaient remises à couler. La vielle dame ne cherchait même pas à m'aider. Elle se fichait pas mal de mon état d'esprit d'ailleurs. Quand une voix familière fit son apparition proche de moi. Je me suis relevé la tête. ❝ Carter ! ❞ Il m'aida à me relever avec le peu de force qui lui restait. Il me prit dans ses bras et se mit à pleurer à son tour. Je n'avais jamais vu mon frère de dix-huit ans pleurer au par avant. Il avait toujours été le plus fort, le plus réservé, mais ce soir-là un poignard avait percé son coeur, comme le mien et sa vie aussi allait être chamboulé. J'ai repris tranquillement mes esprits. ❝ Qu'est ce qui s'est passé au juste ? ❞ dis-je en regardant mon frère, toujours les yeux pleins d'eau. ❝ Il a eu une crise cardiaque, il est sur un respirateur artificiel. Les docteurs ont dit qu'on avait le choix, en le débrancher ou non. Maman et papa se disputent pour savoir s'ils vont le laisser comme ça ou non. Maman veut le garder comme ça et papa veut qu'on le débranche. ❞ Il se recula et m'observa un instant. ❝ Qu'est ce qui s'est passé soeurette pourquoi t'es à moitié nu ? ❞ Il me jeta un regard un peu fâché de frère protecteur quelques secondes, avant de fermer la discussion et de me couvrir de son manteau. ❝ Pour aujourd'hui, je laisse passer. Allons voir Clay. ❞ C'est à ce moment-là, dans la chambre d'hôpital de mon frère Clay qui, quelques heures plus tard, allait être débrancher que je me suis rapprochée de mon frère plus que jamais. Oui, nous n'étions plus jamais les mêmes, mais le bon dieu nous à souder pour mieux affronter les difficultés de la vie. Vivant maintenant sous le même toit de nouveau, nous ne pourrions pour rien au monde nous séparer de nouveau.